dynastart
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[video=dailymotion;x1p3usr]http://www.dailymotion.com/video/x1p3usr_foot-des-centaines-de-fumigenes-lors-d-un-match-en-grece_news[/video]
FOOTBALL - Les joueurs de l’Olympiakos ont été bien reçus…
Un match face à l’Olympiakos, champion de Grèce en titre, ça se prépare. Sur le terrain comme dans les tribunes. Les fans du Paok Salonique, qui affrontait donc le club d’Athènes en demi-finale de Coupe de Grèce, ont fait les choses en grand pour mettre l’ambiance pendant la rencontre. Avant l’entrée des joueurs, ils ont véritablement enflammé leur stade à l’aide d’une centaine de fumigènes et de bombes agricoles, plongeant l’enceinte dans une ambiance de fin du monde.
Ensuite – parce que ce n’est pas fini-, ils ont arrosé les bancs des adversaires de centaines d’anchois (le surnom des joueurs de l’Olympiakos) morts. Résultat? La rencontre a démarré avec plus d’une heure de retard. Et s’est déroulée dans une ambiance évidemment électrique. Deux expulsions, plusieurs bagarres et quinze minutes d’arrêts de jeu plus tard, c’est le Paok qui s’est qualifié pour la finale. «C’est l’humiliation suprême, c’est du terrorisme. Honte et déshonneur» a commenté Savvas Theorodis, le président de l’Olympiakos.
FOOTBALL - Les joueurs de l’Olympiakos ont été bien reçus…
Un match face à l’Olympiakos, champion de Grèce en titre, ça se prépare. Sur le terrain comme dans les tribunes. Les fans du Paok Salonique, qui affrontait donc le club d’Athènes en demi-finale de Coupe de Grèce, ont fait les choses en grand pour mettre l’ambiance pendant la rencontre. Avant l’entrée des joueurs, ils ont véritablement enflammé leur stade à l’aide d’une centaine de fumigènes et de bombes agricoles, plongeant l’enceinte dans une ambiance de fin du monde.
Ensuite – parce que ce n’est pas fini-, ils ont arrosé les bancs des adversaires de centaines d’anchois (le surnom des joueurs de l’Olympiakos) morts. Résultat? La rencontre a démarré avec plus d’une heure de retard. Et s’est déroulée dans une ambiance évidemment électrique. Deux expulsions, plusieurs bagarres et quinze minutes d’arrêts de jeu plus tard, c’est le Paok qui s’est qualifié pour la finale. «C’est l’humiliation suprême, c’est du terrorisme. Honte et déshonneur» a commenté Savvas Theorodis, le président de l’Olympiakos.