zorba16
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Source :
Bonne nouvelle pour le hacker algérien, tout sourire, qui échappe à la peine de mort, selon les rumeurs de ces derniers jours. Il reste néanmoins dans une très mauvaise posture, en espérant que le gouvernement algérien fasse son devoir.
« Parmi ses hauts faits d’armes, le jeune hacker, comparé davantage à un justicier du piratage informatique qu’à un escroc de haut vol, était parvenu à entrer dans l’antre électronique de 217 banques en piratant les boîtes mails, pour y dérober la coquette somme de 4 milliards de dollars. Un juteux butin dont il a fait profiter plusieurs organisations non gouvernementales en Afrique, mais aussi des ONG palestiniennes à qui il a reversé plus de 280 millions de $. »
Le hacker algérien Hamza Bendelladj, détenu aux États-Unis depuis mai 2013, n’a pas été condamné à mort.
Son avocat américain commis d’office a affirmé à El Watan que « la rumeur sur sa condamnation à mort est fausse. Il connaîtra sa peine vers la fin du mois d’octobre ».
L’ambassadrice américaine, Joan Polaschik, a aussi démenti, sur son fil Twitter, la condamnation à mort de celui qu’on surnomme le « hacker souriant » après son arrestation hypermédiatisée en Thaïlande, en janvier 2013, et son extradition vers les États-Unis.
Elle a précisé que « les crimes informatiques ne sont pas des crimes capitaux et ne sont pas punis par la peine de mort ». Hamza Bendelladj a plaidé coupable, le 26 juin dernier, pour avoir « développé, distribué et contrôlé SpyEye, un cheval de Troie bancaire malicieux ».
Chacun de ces chefs d’inculpation pourrait coûter une peine de 5 à 20 ans et une amende de 14 millions de dollars. Selon diverses sources, il risque une peine de prison de 30 ans.
Mais selon maître Strongwater, « les procureurs n’ont pas encore défini quelle peine ils vont recommander à la cour lors de l’audience qui se tiendra fin octobre ». Son procès était prévu le 5 octobre, mais le plaidoyer de culpabilité évite au gouvernement américain de longues procédures qui auraient coûté trop cher aux contribuables. Hamza Bendelladj lui-même n’en a pas les moyens.
Bonne nouvelle pour le hacker algérien, tout sourire, qui échappe à la peine de mort, selon les rumeurs de ces derniers jours. Il reste néanmoins dans une très mauvaise posture, en espérant que le gouvernement algérien fasse son devoir.
« Parmi ses hauts faits d’armes, le jeune hacker, comparé davantage à un justicier du piratage informatique qu’à un escroc de haut vol, était parvenu à entrer dans l’antre électronique de 217 banques en piratant les boîtes mails, pour y dérober la coquette somme de 4 milliards de dollars. Un juteux butin dont il a fait profiter plusieurs organisations non gouvernementales en Afrique, mais aussi des ONG palestiniennes à qui il a reversé plus de 280 millions de $. »
Le hacker algérien Hamza Bendelladj, détenu aux États-Unis depuis mai 2013, n’a pas été condamné à mort.
Son avocat américain commis d’office a affirmé à El Watan que « la rumeur sur sa condamnation à mort est fausse. Il connaîtra sa peine vers la fin du mois d’octobre ».
L’ambassadrice américaine, Joan Polaschik, a aussi démenti, sur son fil Twitter, la condamnation à mort de celui qu’on surnomme le « hacker souriant » après son arrestation hypermédiatisée en Thaïlande, en janvier 2013, et son extradition vers les États-Unis.
Elle a précisé que « les crimes informatiques ne sont pas des crimes capitaux et ne sont pas punis par la peine de mort ». Hamza Bendelladj a plaidé coupable, le 26 juin dernier, pour avoir « développé, distribué et contrôlé SpyEye, un cheval de Troie bancaire malicieux ».
Chacun de ces chefs d’inculpation pourrait coûter une peine de 5 à 20 ans et une amende de 14 millions de dollars. Selon diverses sources, il risque une peine de prison de 30 ans.
Mais selon maître Strongwater, « les procureurs n’ont pas encore défini quelle peine ils vont recommander à la cour lors de l’audience qui se tiendra fin octobre ». Son procès était prévu le 5 octobre, mais le plaidoyer de culpabilité évite au gouvernement américain de longues procédures qui auraient coûté trop cher aux contribuables. Hamza Bendelladj lui-même n’en a pas les moyens.