zorba16
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L’Organisation indienne de la recherche spatiale (ISRO) devrait lancer 28 satellites dont deux algériens entre 2015 et 2017. Neuf de ces satellites seront lancés avant la fin de 2016, a annoncé hier à New Delhi un responsable d’ISRO.
Il s’agit de « satellites de type Nano dont le poids varie entre 1 kg et 10 kg et des satellites de type Micro pesant entre 10 et 80 kg » servant dans les domaines de la météo, de la géolocalisation et de la télécommunication, a indiqué la même source.
En juillet dernier, le ministre d’Etat indien chargé de la direction de l’aérospatiale, Jitendra Singh, a fait savoir que 45 satellites appartenant à 19 pays avaient été lancés par l’ISRO en collaboration avec sa filiale l’agence Antrix et que 28 autres appartenant à l’Algérie, au Canada, à l’Allemagne, à l’Indonésie, au Singapour et aux Etats-Unis seront lancés à partir de septembre prochain. Depuis 2002, l’Algérie a décidé de se doter d’un programme spatial et d’une agence spatiale dénommée ASAL (Agence spatiale algérienne) avec pour objectif de lancer 10 satellites dans l’espace d’ici 2017.
Le premier satellite algérien ALSAT 1, a été lancé le 28 novembre 2002 par un lanceur COSMOS 3M du Cosmodrome russe de Plesetsk.Le second satellite, ALSAT 2 A, conçu à Oran, est lancé le 12 juillet 2010 depuis le site de Sriharikota à Chennaï (Sud -Est de l’Inde). L’Algérie s’est ensuite mise à la construction de, ses propres satellites, dont « Alsat 2 B » en s’appuyant sur des compétences locales. Elle devait lancer un troisième satellite en avril 2014
Il convient de signaler qu’ « Alsat 1 », le premier satellite algérien, a fait partie d’une série de cinq microsatellites lancés dans le cadre d’une constellation internationale dite DMC (Disaster Monitoring Constellation) pour fournir des images multi-spectrales de résolution moyenne pour la surveillance, notamment des catastrophes naturelles, ainsi que pour d’autres applications thématiques de la télédétection. Onze ingénieurs du Centre national des techniques spatiales (CNTS), basé à Arzew, ont été formés au Surrey Satellite Technology Limited (SSTL), en Grande-Bretagne, et ont participé à la construction de Alsat 1. « Alsat-2A », qui s’inscrit dans le programme spatial national horizon 2020, adopté par le gouvernement en 2006, prévoit 86 projets opérationnels d’application spatiale à mettre en œuvre et huit systèmes spatiaux à concevoir et à réaliser.
Un lanceur spatial algérien est en cours de préparation finale. Etant le plus grand pays d’Afrique de par la superficie, les besoins de l’Algérie en satellites d’observation et autres se sont fait sentir de manière plus pressante lors des catastrophes naturelles
Il s’agit de « satellites de type Nano dont le poids varie entre 1 kg et 10 kg et des satellites de type Micro pesant entre 10 et 80 kg » servant dans les domaines de la météo, de la géolocalisation et de la télécommunication, a indiqué la même source.
En juillet dernier, le ministre d’Etat indien chargé de la direction de l’aérospatiale, Jitendra Singh, a fait savoir que 45 satellites appartenant à 19 pays avaient été lancés par l’ISRO en collaboration avec sa filiale l’agence Antrix et que 28 autres appartenant à l’Algérie, au Canada, à l’Allemagne, à l’Indonésie, au Singapour et aux Etats-Unis seront lancés à partir de septembre prochain. Depuis 2002, l’Algérie a décidé de se doter d’un programme spatial et d’une agence spatiale dénommée ASAL (Agence spatiale algérienne) avec pour objectif de lancer 10 satellites dans l’espace d’ici 2017.
Le premier satellite algérien ALSAT 1, a été lancé le 28 novembre 2002 par un lanceur COSMOS 3M du Cosmodrome russe de Plesetsk.Le second satellite, ALSAT 2 A, conçu à Oran, est lancé le 12 juillet 2010 depuis le site de Sriharikota à Chennaï (Sud -Est de l’Inde). L’Algérie s’est ensuite mise à la construction de, ses propres satellites, dont « Alsat 2 B » en s’appuyant sur des compétences locales. Elle devait lancer un troisième satellite en avril 2014
Il convient de signaler qu’ « Alsat 1 », le premier satellite algérien, a fait partie d’une série de cinq microsatellites lancés dans le cadre d’une constellation internationale dite DMC (Disaster Monitoring Constellation) pour fournir des images multi-spectrales de résolution moyenne pour la surveillance, notamment des catastrophes naturelles, ainsi que pour d’autres applications thématiques de la télédétection. Onze ingénieurs du Centre national des techniques spatiales (CNTS), basé à Arzew, ont été formés au Surrey Satellite Technology Limited (SSTL), en Grande-Bretagne, et ont participé à la construction de Alsat 1. « Alsat-2A », qui s’inscrit dans le programme spatial national horizon 2020, adopté par le gouvernement en 2006, prévoit 86 projets opérationnels d’application spatiale à mettre en œuvre et huit systèmes spatiaux à concevoir et à réaliser.
Un lanceur spatial algérien est en cours de préparation finale. Etant le plus grand pays d’Afrique de par la superficie, les besoins de l’Algérie en satellites d’observation et autres se sont fait sentir de manière plus pressante lors des catastrophes naturelles