dynastart
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Des chercheurs américains ont mis au point une batterie lihthium-ion disposant d’une autonomie 3 fois plus importante, grâce à l’ajout d’une anode en lithium dotée d’une couche protectrice et isolante.
batterie-lithium ion
La durée d’autonomie des batteries lithium-ion des terminaux mobiles pourrait bientôt être multipliée par trois. Des chercheurs de l’Université de Stanford, en Californie, sont parvenus à stabiliser une anode en lithium qui permet d’augmenter de façon significative les rapports puissance-volume et puissance-poids.
Rappelons qu’une batterie de type lithium-ion est composée de trois éléments importants : l’électrolyte, qui fournit les électrons et contient le lithium, l’anode, qui se charge de transférer les électrons à l’ensemble du circuit, et la cathode, qui reçoit les électrons.
Jusque là, l’anode des batteries lithium-ion est composée de graphite, matière peu coûteuse mais qui a tendance, avec la multiplication des cycles de charge, à surchauffer, à se dilater et à ainsi laisser se former des petites fissures entraînant des petits courts-circuits qui réduisent, à terme, l’autonomie de la batterie.
Une anode en lithium peut résoudre ces inconvénients, car elle offre des capacités élargies, à condition de stabiliser cette matière, car les micro-fissures créées par les cycles de charge sont encore plus importantes qu’avec une anode en graphite.
Les chercheurs américains sont ainsi parvenus à protéger l’anode en lithium, comme ils l’expliquent dans la revue Nature Nanotechnology, grâce à l’ajout d’une couche protectrice et isolante de 20 nanomètres d’épaisseur.
Une façon ingénieuse d’éviter la surchauffe de l’anode, et ainsi de posséder une batterie armée d’une autonomie trois fois plus importante qu’une batterie lithium-ion actuelle composée d’une anode de graphite.
batterie-lithium ion
La durée d’autonomie des batteries lithium-ion des terminaux mobiles pourrait bientôt être multipliée par trois. Des chercheurs de l’Université de Stanford, en Californie, sont parvenus à stabiliser une anode en lithium qui permet d’augmenter de façon significative les rapports puissance-volume et puissance-poids.
Rappelons qu’une batterie de type lithium-ion est composée de trois éléments importants : l’électrolyte, qui fournit les électrons et contient le lithium, l’anode, qui se charge de transférer les électrons à l’ensemble du circuit, et la cathode, qui reçoit les électrons.
Jusque là, l’anode des batteries lithium-ion est composée de graphite, matière peu coûteuse mais qui a tendance, avec la multiplication des cycles de charge, à surchauffer, à se dilater et à ainsi laisser se former des petites fissures entraînant des petits courts-circuits qui réduisent, à terme, l’autonomie de la batterie.
Une anode en lithium peut résoudre ces inconvénients, car elle offre des capacités élargies, à condition de stabiliser cette matière, car les micro-fissures créées par les cycles de charge sont encore plus importantes qu’avec une anode en graphite.
Les chercheurs américains sont ainsi parvenus à protéger l’anode en lithium, comme ils l’expliquent dans la revue Nature Nanotechnology, grâce à l’ajout d’une couche protectrice et isolante de 20 nanomètres d’épaisseur.
Une façon ingénieuse d’éviter la surchauffe de l’anode, et ainsi de posséder une batterie armée d’une autonomie trois fois plus importante qu’une batterie lithium-ion actuelle composée d’une anode de graphite.